Catégorie : 17ème siècle

Jean de la Fontaine

Je me prénomme Jean de la Fontaine, je suis né le 8 juillet 1621.

J’ai écrit de nombreuses fables, contes, poèmes, pièces de théâtre et même des livrets d’opéra ! Le roi et sa cour ne m’appréciaient pas forcément, sûrement pour mon côté moraliste. Je fréquentais tout de même de nombreux salons !

Mes amis étaient nombreux, vous connaissez peut-être, François de Maucroix ? Il était poète lui aussi.

J’ai appris le latin, mais pas assez pour traduire mes textes au complet, d’ailleurs l’un de mes traducteurs se nommait Jean Fontaine.

Racine

Je m’appelle Jean Racine et je suis né le 22 décembre 1639 et mort le 21 avril 1699.

Je suis un dramaturge poète français.

Je suis l’un des plus grands auteurs français de tragédie de la période classique en France comme Corneille et Molière.

Jean de la Bruyère

Je m’appelle Jean de la Bruyère et je suis né le 16 août 1645 à Paris. Je suis un moraliste français et écrivain. Grâce à mon œuvre, Les caractères ou les Moeurs de ce siècle (1688), j’ai pu devenir un écrivain célèbre. Je suis l’un des premiers écrivains à mettre en avant le style littéraire, en développant un phrasé rythmé dans lequel les effets de rupture sont prépondérants. Souvent, mes textes, on les lit à haute voix, ce qui donne à cette activité le statut de jugement moral grâce à l’effet rhétorique.

Matsuo Bashô

Je me prénomme Matsuo Bashô. Je suis plus connu sous mon nom de plume Bashô (signifiant « le Bananier »), je suis un poète Japonais du XVII -ème siècle (début de l’époque d’Edo). De mon vrai nom Matsuo Kinsaku (enfant) puis Matsuo Munefusa (adulte), je suis né en 1644 et mort en 1694.           

 Je suis considéré comme l’un des quatre maîtres classiques du haïku Japonais.

Auteur d’environ deux mille haïkus, je romps les formes vulgaires du haïkaï-renga du XVIème de Sôkan en proposant un type de baroque qui fonde le genre au XVIIème en détournant ses conventions de base pour en faire une poésie plus subtile qui crée l’émotion par ce que suggère le contraste ambigu au spectaculaire d’éléments naturels simples ou juxtaposés.

Antoine Arnauld

Je m’appelle Antoine Arnauld. Je suis né le 6 février 1612 à Paris et je suis mort le 8 août 1694 à Bruxelles. Je suis surnommé le Grand Arnault par mes contemporains pour me distinguer des autres membres de ma famille. Je suis un prêtre, théologien, philosophe et mathématicien français. Je suis mort en Belgique mais mon corps a été transporté en France à Palaiseau où je suis maintenant.

Charles Perrault

Je me nomme Charles Perrault et je suis né le 12 janvier 1628 à Paris et mort au même endroit le 16 mai 1703. Je suis un homme de lettres français, célèbre pour mes « Contes de ma mère l’Oye ».

J’ai également écrit plusieurs romans comme celui de Cendrillon, La belle au bois dormant…

Auteur de textes religieux, chef de file des Modernes dans la Querelle des Anciens et des Modernes, je suis l’un des grands auteurs du XVIIe siècle. L’essentiel de mon travail consiste en la collecte et la retranscription de contes issus de la tradition orale française. Je suis l’un des formalisateurs du genre littéraire écrit du conte merveilleux.

Beaucoup d’enfants aiment lire mes contes merveilleux et s’identifient souvent au héros de l’histoire.

J’ai inspiré des opéras comme celui de Cendrillon qui a été joué à l’opéra de Paris.

Molière

Je suis Jean-Baptiste POQUELIN, dit Molière. Je suis né en 1622 et mort en 1973 d’une pneumonie, après avoir joué la quatrième représentation du Malade imaginaire. Je fus enterré de nuit au cimetière Saint Joseph car les comédiens n’avaient pas le droit d’être enterrés religieusement. Je suis un grand comédien et dramaturge français mais j’ai fait des études de droit pour être avocat. En 1643, avec des amis comédiens, nous avons fondé la troupe de théâtre « l’Illustre-Théâtre ». Deux ans après sa création, je fus emprisonné pour dettes. En 1659, j’eus un énorme succès avec la pièce les Précieuses ridicules. Tandis qu’une autre pièce comme Tartuffe fut interdite pendant cinq ans à cause du scandale qu’elle avait déclenché. Je fis des farces comme Le médecin volant, des comédies Tartuffe, des comédies-ballets Le Bourgeois gentilhomme et des tragédies Psyché. J’arrive à diversifier mes œuvres et à me moquer de la bourgeoisie et des défauts sans que mes pièces ne soient censurées longtemps. Plus tard, on commencera à étudier mes œuvres en étant très jeune, à partir de dix-onze ans. Je suis donc très important dans l’histoire littéraire française.