Michel de Montaigne

 Je me nomme Michel Eyquem de Montaigneseigneur de Montaigne, je suis né le 28 février1533, et selon les traditions universitaires, je suis soit un philosophe et moraliste de la Renaissance, soit un écrivainérudit, précurseur et fondateur des « sciences humaines et historiques » en langue française.

Enfant puis adolescent éduqué par mon père Pierre dans la ferveur humaniste et polyglotte, je me mue en étudiant batailleur et aventureux menant une vie itinérante parfois dissolue. Devenu pleinement adulte, homme à la santé allègre, de caractère bouillonnant, mais toujours avide lecteur, j’entame en 1554 à la cour des aides de Périgueux un cursus professionnel au sein de la magistrature de la province de Guyenne qui me mène en 1556 au parlement de Bordeaux occuper un poste de conseiller pendant 13 ans.

Pendant cinq ans, je noue une progressive et solide amitié avec un aîné conseiller La Boétie jusqu’à la disparition de ce dernier en août 1563. Versé à la chambre des enquêtes, j’ y deviens un diplomate de premier niveau, chrétien sincère contre les Ligueurs et fidèle au roi de France, promu après sa retraite en octobre 1571 en gentilhomme de la chambre du Roi, avec le titre de chevalier de l’ordre de Saint-Michel       

Garcilaso de la Vega

Je me nomme Garcilaso de la Vega, je suis né à Tolède en 1501.

Je suis un poète engagé dans l’armée d’Espagne durant son siècle d’or.

Je me suis mis au service de Charles Quint comme membre de la garde royale en 1520, je suis ensuite parti à la guerre des communautés.

J’ai été nommé membre de l’ordre de Santiago, je me suis battu contre les français à Fuenterrabia.

À mon retour à Tolède, j’ai épousé Elena de Zuniga en 1525, une dame de compagnie de dona Léonor, sœur de Charles Quint.

C’est à ce moment que j’écris mes premiers poèmes.

Pour l’instant, on me dit que je suis un auteur majeur de la littérature espagnole.

Actuellement, je suis blessé en cet octobre 1536 lors d’un assaut contre la forteresse du Muy, prés de Fréjus; on va bientôt me transporter à Nice, j’espère que cela n’est pas trop grave.

Explication :J’espère que suivant ma mort, on me représentera et utilisera mon nom comme d’un célèbre poète.Et je pense qu’avec mon coté robuste de militaire et mon coté grand écrivain, j’ai toutes mes chances.

Louise Labé

Je m’appelle Louise Labé.

Je suis née vers 1524 à Lyon. Malheureusement, je suis décédée le 25 avril 1566 à Parcieux.

Mon époux était Ennemond Perrin, ma mère s’appelait Etiennette et mon père Pierre.
On me surnommait la belle cordière. Je fais partie des poètes. J’ai notamment écrit « je vis, je meurs », un poème qui
fait partie du recueil « Les élégies« .       

Michel-Ange

Je m’appelle Michel Ange, je suis né le 6 mars 1475 et mort le 18 février 1564.

Je suis un sculpteur, peintre, architecte, poète et urbaniste florentin de la haute renaissance.

Mes œuvres les plus connues sont :

– David

– La Pietà

– Moïse

– Le Plafond De La Chapelle Sixtine

et beaucoup d’autres encore.

Palestrina

Je m’appelle Palestrina, je suis né le trois février 1525 à Palestrina, petite commune de l’Italie qui m’a gentiment donné son nom.

Je suis un compositeur qui écrit de la musique de la Renaissance, de la musique sacrée, des musiques d’église. Je sais jouer de l’orgue à tuyaux. Je suis aussi un professeur de musique, organiste et un chef de chœur.