John Coplans : Self portrait torso front

Exposé de Garcilaso de la Vega

John Coplans est né le 24 juin 1920 à Londres, et mort le 21 août 2003 a New York. C’était un artiste photographe britannique qui a émigré aux États-Unis en 1960 et a beaucoup exposé en Europe et en Amérique du Nord. Coplans est célèbre pour sa série d’autoportraits en noir et blanc qui sont des étude assez crues du corps nu et vieillissant.

Les premières impressions que l’on a en regardant cet autoportrait sont l’amusement, la surprise, mais aussi le dégoût.

Cette œuvre est est une photographie en noir et blanc où le torse de l’artiste prend tout l’espace et ses poils sont mis en scène de manière à former un visage aux yeux allongés qui ressemblent à un visage de monstre.

Dans cet autoportrait, l’artiste ne se met pas en valeur en montrant son ventre nu et poilu, ce qui en fait un autoportrait original et assez provocateur . C’est sûrement ce que l’artiste a cherché à représenter.

Autoportrait de Sophie Calle

Exposé de ?

C’ est un exposé sur Sophie Calle « prenez soin de vous » qui a été fait en 2007. Cette œuvre nous fait penser à une femme qui veut s’ exprimer et qui veut faire passer un message. La technique qui a été utilisée est une photo avec des mots qui se suivent et c’ est une image en noir et blanc.

Sophie Calle est née à Paris le 09 octobre 1853, c’est une artiste plasticienne, photographe, femme de lettre et réalisatrice.

Cette œuvre nous fait penser à une femme qui veut s’ exprimer.

Les premières impressions que ce document produit sont que c’ est une femme qui fait passer un message.

La scène représentée est intéressante car c’ est une image originale, on ne voit pas le visage entier de la femme car elle s’ exprime avec sa bouche. La place de la personne est une femme triste qui ressent quelque chose comme la colère et l’ amour.

AUTOPORTRAIT D’ERIK DIETMAN

Exposé de Louisa May Alcott et Jean de La Fontaine :

  1. On va vous présenter l’autoportrait d’Erik Dietman :

Tout d’abord, Erik Dietman est un artiste suédois qui a vécu de 1937 à 2002, c’est un peintre, dessinateur, sculpteur et il adore les jeux de mots.

Son autoportrait se nomme « Je suis rond comme une bille mais la terre est toujours plate ». C’est une sérigraphie de 1991 (XXème siècle), de l’époque contemporaine.

2. Qu’est-ce qu’une sérigraphie ?

C’est un procédé d’impression à l’aide d’un écran de tissu, dérivé du pochoir.

Cette sérigraphie a été éditée et imprimée 50 fois

3. Voici notre description de cette œuvre :

Le personnage se situe dans la seconde moitié de la sérigraphie.

Au premier plan, on peut voir, un rocher assez imposant qui représente le nez de l’artiste. Ce visage est de profil. Nous avons pensé qu’Erik a fabriqué un nez en terre cuite et qu’il en a fait un photomontage.

Au 2nd plan, on peut voir un paysage calme et paisible : il y a quelques habitations dans le fond, entourées d’arbres, une forêt sur la droite et un arbre qui se reflète dans un lac à gauche. On peut penser au reflet du miroir et à l’histoire de Narcisse en exprimant sa beauté intérieure. Complètement à gauche, on peut voir un petit oiseau qui sort du cadre, d’ailleurs le regard de l’artiste se dirige vers l’oisillon. C’est surréaliste, comme le titre, car nous savons que la Terre est ronde. On perçoit un ensemble de lignes horizontales.

Pour les couleurs, on constate que sur la droite les couleurs sont vives et claires : orange, vert, bleu… Alors qu’à gauche c’est sombre, car c’est en noir et blanc.

4. Notre pensée :

A vrai dire on ne savait pas trop ce qui nous attendait en choisissant cette œuvre car nous n’avons pas toute de suite remarqué le portrait qui se cachait dans le paysage, c’est ce qui en fait une œuvre mystérieuse.

Les questions que nous nous sommes posées en découvrant ce document sont :

  • D’où vient cette pierre centrale ?
  • Pourquoi y a-t-il un oiseau sur la gauche ?
  • Pourquoi l’artiste a choisi ce titre ?

Nous avons aussi fait une comparaison entre une photo d’Erik et son autoportrait :

  • Nous avons pu voir qu’il assumait son gros nez (photo ci-dessous)
  • On a aussi constaté qu’il était rond comme il le cite dans le titre.

Cette œuvre nous a fait penser à l’expression : «  se voir comme le nez au milieu de la figure » (je n’ai pas réussi à trouver qui a inventé cette expression…) apparue au début su XVIIIème siècle. Le nez étant une des composantes les plus visibles du visage, cette expression signifie qu’une chose est évidente que l’on ne peut pas passer à côté ou la nier.

Ce style d’Erik Dietman nous a aussi fait penser au style de Guiseppe Arcimboldo, qui est un peintre maniériste célèbre comme auteur de nombreux portraits phytomorphes (en forme de plante) suggérés par des végétaux, des animaux ou des objets astucieusement disposés.

Pour nous cette œuvre est remplie d’humour et de fantaisie. On n’a pas forcément trouvé de lien avec le titre mais on a remarqué qu’il est rond comme une bille et que la terre est toujours plate peut-être sous-entendu qu’il ne peut pas avancer.

5. Conclusion : Il se moque de lui-même, cela ressemble à une caricature, tout est une évidence et c’est une image artistique décalée.

Je vais vous présenter l’œuvre « Prenez soin de vous » de Sophie Calle

Exposé de Jane Austen

Courte biographie de Sophie Calle :

Sophie Calle est née le 9 octobre 1953; elle est une artiste plasticienne, photographe, femme de lettre et réalisatrice française. Elle fait partie des artistes qui utilisent la photographie comme un support de narration intime.

Ce que je pense de l’œuvre :

La première fois que j’ai vu cette œuvre je me suis posé pas mal de questions :

_Qu’est qu’il y a d’écrit ?

_Pourquoi ?

Mais mon attention était attirée par cette phrase intrigante « Prenez soin de vous » signé « G », je ne savais pas ce qu’elle voulait dire. Alors je pensais que c’était un message de bienveillance. L’œuvre me faisait penser à une couverture de romans.

Description de l’œuvre « Prenez soin de vous » :

Cette œuvre est de couleur basique (noir, blanc, gris…). L’œuvre montre le buste d’une femme. Sur son cou, son buste et son menton il y a écrit une phrase « Prenez soin de vous » avec une signature en bas à droite « G ». Elle est vêtue d’un collier fin autour de son cou et d’un tee shirt noir habillé d’un grand décolleté. Sur l’œuvre la phrase a été projetée par un projecteur, après on l’a prise en photo.

L’histoire de cette œuvre « Prenez soin de vous » :

La technique utilisée est la photographie. L’image signifie la rupture de son point de vue, car elle était en couple sauf que son mari l’a quittée en lui envoyant un émail et à la fin de cette émail, il y avait écrit : « Prenez de soin de vous » signé « G ». Donc comme elle ne savait pas quoi répondre elle demanda à 107 femmes spécialisées dans la littérature de répondre à sa place.

Autoportrait mou avec du lard grillé

Exposé de Jules Verne.

C’est une œuvre de Salvador Dali peinte en 1941 à New York. Elle est exposée au théâtre -musée, Dali « Autoportrait mou avec du lard grillé » est une huile sur de 61x51cm qui représente le visage de Salvador Dali lui- même. Nous voyons que ce que visage masqué est soutenu par des béquilles pour soutenir une soutenir une « malformation crânienne » la moustache, les sourcils et la bouche fine rappelle bien Dali.

Dali a voulu se représenter avec une malformation car il voulait montrer que le plus consistant dans notre corps n’est ni l’esprit ni la vitalité mais notre propre peau.

Salvador Dali est né le 11 mai 1904 et mort le 23 janvier 1989 à 84 ans. Il faisait partie du mouvement surréaliste. Il est considéré comme l’un dés principaux représentants du surréalisme, et comme l’un des plus célèbres peintres du XXe siècle.

Cindy Sherman (1954) – Untitled (1980)

Exposé de Louis Pergaud I

Cindy Sherman est née au 20e siècle aux États-Unis. C’est une artiste photographe contemporaine. Sur les quatre autoportraits si contre, nous pouvons supposer qu’ils représentent sa vie, son histoire…

En réalité Cindy Sherman aime critiquer la société, elle se moque du peuple ! Ces autoportraits sont des photographies où Cindy Sherman occupe la place centrale !

1)Sur cet autoportrait j’ai pensé à l’été « le soleil, le bronzage, robe, chapeau, … »

Les couleurs du fond sont chaudes également, sur cet autoportrait Cindy fait assez jeune.

2) Sur cet autoportrait Cindy porte un survêtement légèrement ouvert, ce qui forme « un petit décolleté ».

Ces cheveux sont détachés, très blonds et longs, elle porte en plus un diadème sur la tête.

J’ai pensé qu’elle voulait se représenter en princesse « Barbie ».

3) Sur cet autoportrait, nous ne voyons que le haut du buste de Cindy Sherman, nous apercevons son visage et ses épaules. Tout le reste du corps est effacé, on dirait qu’elle apparaît par magie ! Je pense que Cindy porte une robe verte, elle a également un collier. Son regard est très mystérieux et intrigant. Cet autoportrait me fait penser à « blanche neige » la méchante belle-mère.

A l’arrière-plan, nous pouvons deviner une forêt, avec de grands arbres, la couleur la plus dominante est le vert et la couleur bois. Cindy est un peu plus âgée que sur l’autoportrait n°1

4) Sur ce dernier autoportrait Cindy Sherman est habillée très élégamment, elle porte : « des gants, un pantalon à pince, une chemise, une veste de costume et un petit foulard ». J’ai trouvé qu’elle faisait femme d’Etat avec du pouvoir (ministre, présidente).

L’arrière-plan représente un palais, un lieu où il y a des personnes importantes.

Sur ce dernier Cindy semble âgée !

Conclusions :

Tout d’abord ces quatre autoportraits n’ont pas de titre.

Sur ces autoportraits, on dirait que Cindy n’a pas le même âge, mais en réalité si. Car ils ont été réalisés à la même date. Cindy se met donc en scène, elle se déguise et se maquille tout ça pour caricaturer et se moquer des femmes. Ou alors, elle est malade, elle a plusieurs apparences et personnalités. Serait-elle schizophrène? Nous pouvons également imaginer qu’elle a un profond respect pour « LA FEMME » et par ces autoportraits, elle met en scène tout ce qu’elles peuvent représenter dans la société d’aujourd’hui.

Andy Warhol, autoportrait

Exposé de Giosé Carducci

1) L’artiste: Andy Wahrol est un artiste américain, l’un des principaux représentants du pop art. Warhol est généralement reconnu comme l’un des plus grands artistes du 20 ème siècle.

2) L’œuvre: La question que je me suis posé est quel procédé a-t-il utilisé ? Cette œuvre est un autoportrait d’Andy Wahrol. La technique utilisé est la sérigraphie où il se représente dans douze cadres consécutifs qui nous donne l’impression de répétition. On observe des variations de couleurs primaires et secondaires créant de forts contrastes frappant l’œil.:

Andy y est représenté pensif, la tête légèrement tournée vers la gauche avec deux doigts sur la bouche. Une partie de son visage disparaît dans l’ombre. Les formes sont simplifiées, l’expression figée et vide de sentiments.

3) L’interprétation: Andy wahrol a choisi cette façon de se représenter car par cette œuvre, il relie ses marques de fabriques, la sérigraphie et le portait. Et quoi de mieux que se mettre en valeur en les utilisant (sérigraphie, portrait).

Par cette œuvre, il dénonce la société de consommation, et des produits pouvant être reproductible à l’infini. Le sens caché est lorsqu’il produit ses portraits, l’objectif est d’immortalisé les personnes comme Marilyn Monroe qui est décédée ou Liz Taylor quand elle est dans le coma. Peut-être en est-il de même pour cet autoportrait.

Autoportrait d’Hervé Guibert : rue du moulin vert 1986

Exposé de Snorri Sturluson et Paul Verlaine.

La technique utilisée pour cet autoportrait est la photographie en noir et blanc.

Mes premières impressions sont que la photo me parait lugubre et sinistre. Le drap blanc donne l’impression que le lieu est dépouillé.

La place de l’auteur dans la scène est dans un lit au centre de la pièce, il se représente comme mort. La décoration est assez ancienne. On voit une fenêtre qui apporte de la lumière sur son visage et éclaire la pièce; cela accentue encore plus l’impression cadavérique du personnage. La lumière est peut-être celle de son âme qui est en train de partir. On peut aussi remarquer une cheminée sur laquelle est posé un buste qui se reflète dans un miroir. Ce buste semble plus vivant que le personnage. Il semble plus allongé sur une table d’autopsie que sur un lit. La première question qui me vient à l’esprit en voyant cet autoportrait est: «Est-ce que la personne dans son lit est vivante ou morte? ». Une autre question que je me pose est : «Pourquoi l’artiste se met-il en scène dans un lit en se représentant comme un cadavre ?». Je me demande aussi comment l’artiste a pu se photographier sans l’aide d’une autre personne.

Cette œuvre me fait penser à une chambre funéraire. On croirait y voir un gisant. Il est possible que l’artiste ait choisi de se représenter ainsi, car son amant est atteint du sida et qu’il risque de l’avoir lui aussi. Il veut peut-être exprimer sa peur de la mort et de la maladie. La société dans laquelle il vit ne lui convient plus ou bien le buste est celui de son amant perdu: il n’a peut-être plus la force de vivre sans lui. Le titre correspond à son domicile, à Paris, ce qui montre qu’il s’est mis en scène chez lui. C’est un autoportrait dans lequel nous ne pouvons pas décrire le visage de l’artiste. Ses émotions et sentiments sont exprimés que par ce corps gisant. Son autoportrait symbolise peut-être sa tristesse, sa détresse. C’est à tel point que c’est la représentation d’un cadavre et non d’un être vivant.

Hervé Guibert est un écrivain et journaliste français homosexuel, touché de près par le sida, qui raconte la maladie dans ses œuvres et qui meurt à 36 ans.

Autoportrait mou avec lard grillé: Salvador Dali

Article rédigé par Edmond Rostand et Vincent Van Gogh.

Salvador Dali est né le 11 mai 1904 à Figeras (Espagne), mort le 23 Janvier 1989 au même lieu. C’est un peintre surréaliste qui a marqué son époque.

Autoportrait mou avec lard grillé est une huile sur toile de taille moyenne peinte en 1941 par Dali.

→Est-ce que vous reconnaissez Salvador Dali dans cet autoportrait ?

Notre première impression est que cela nous a paru étrange et spécial car c’est un autoportrait symbolique et non réaliste.

A première vue, on ne reconnaît pas Salvador Dali mais certains détails comme sa moustache ou ses sourcils nous le permettent.

Sur cet autoportrait symbolique, il est représenté par un masque mou, visqueux, liquide d’où son nom. Ce qu’il montre au public est différent de ce qu’il est vraiment, d’où ce masque qui le cache.

Les béquilles qui soutiennent son autoportrait flasque peuvent symboliser le vieillissement, l’affaiblissement ou le besoin d’être soutenu. On peut observer le morceau de lard sur le bord de son autoportrait qui peut signifier la vie, la nourriture mais aussi une marque d’humour : « tête de lard », « l’art grillé » : « l’art mort ».

Sur l’autoportrait, il est représenté dans la totalité du tableau. Le soi-disant masque est sur un piédestal porté par des tuteurs (béquilles).

Le tableau aborde des couleurs sombres en arrière plan et des contrastes de couleurs chaudes en premier plan. Ces contrastes de couleurs chaudes permettent de voir les cavités du masque pour le rendre plus flasque. De plus, les lignes plutôt arrondies et courbées le permettent aussi.